STAS a 30 ans. Que disent nos employés?

Un témoignage de Marie-Claude Fillion, Chef des services administratifs, en poste depuis 1986, avant la création de l’entreprise. 

Dans le cadre des 30 ans de STAS (1989-2019), nos employés témoignent de leur expérience parmi nous, et ce qui a changé (ou non) depuis les premiers jours. 

 

 

 

Décrivez-nous en quelques mots votre rôle et fonction dans l’entreprise

Mon rôle est chef des services administratifs, je m’occupe présentement de la comptabilité de STAS et Unigec et autres compagnies apparentées.  Je valide des données comptables et prépare les états financiers ainsi que d’autres tâches connexes. Ces dernières ont beaucoup changé au cours des années, je me suis même occupée des ressources humaines quelques années.

Quels sont les moments forts de votre carrière chez STAS? événements marquants? Produits et contrats phares?

Au départ en 1986 j’ai été engagée par Unigec, une firme d’ingénieurs conseil. Nous étions environ 8 à 10 employés. Nos bureaux étaient situés sur la rue Descartes, et j’avais été engagée pour installer notre premier logiciel de comptabilité. Nous n’avions même pas encore de télécopieur, on allait chez une autre entreprise pour faxer nos documents et nous n’avions pas de traitement de texte non plus. Les rapports étaient aussi faits à la dactylo. Nous devions donc travailler de longues heures et les employés restaient au bureau tard le soir durant ces années.

En 1987 et 1988, nous commencions à travailler en collaboration avec le Centre de Recherche Alcan pour la fabrication de différents équipements. Au départ, c’était un peu compliqué, car le système informatique n’était pas encore en vigueur et nous faisions les chèques à la main. Puisque nous commencions, nous devions payer les fournisseurs seulement si le client nous avait payé.  Ce fut le début d’une grande aventure en collaboration avec le Centre de recherche pour le développement de plusieurs équipements. Un local à Arvida avait été loué pour répondre à l’embauche de plusieurs employés reliés directement aux nouvelles activités de STAS.

En 1989, STAS a été créée pour ses nouvelles activités de fabrication. En 1989 et 1990, les bureaux de la rue Descartes étaient devenus trop petits, les employés mangeaient à 8 sur des tables de 4 personnes, mais ça rapprochait quand même le personnel! Et nous avons ensuite décidé de construire une nouvelle bâtisse STAS pour réunir tous les employés d’Arvida et de la rue Descartes. Je crois que la construction du nouveau bâtiment STAS est toujours un événement marquant, Pendant la construction, avant que les bureaux du deuxième étage de STAS furent complétés, nous avions fait un party de Noël au 2ème étage. On sentait une nouvelle énergie assez exceptionnelle, l’ambiance était à la fête, de nouveaux défis nous attendaient. On a donc déménagé en 1991, c’était un grand départ. Les employés étaient très heureux et fiers de l’entreprise qui grandissait.

Un des produits importants de nos débuts a été probablement le IGDC (cloches d’écume). Ensuite se sont ajoutés les ACD (dégazeurs compacts) et nous étions aussi très fiers de nos premiers TAC (traitement de l’aluminium en creuset). Un évènement important a certainement été aussi la création de l’entreprise Voltam (petite soeur de STAS) il y a une dizaine d’années, une belle entreprise jeune et dynamique dont nous sommes très fiers.

Quels seraient vos conseils aux nouveaux employés qui se joignent à l’équipe?

Les conseils que je donnerais aux nouveaux employés seraient d’être polyvalents et curieux, car la direction a toujours plusieurs projets en tête et vous aurez certainement beaucoup de possibilités
d’avancement dans une entreprise qui est constamment en changement et en croissance. Je vous dirais également qu’on ne s’ennuie jamais chez STAS. La routine n’a jamais le temps de s’installer!

Qu’est ce qui a changé depuis 30 ans ?

Plus d’employés, plus de beaux bureaux qui sont mieux équipés!

Qu’est ce qui n’a pas changé?

C’est bizarre, on dirait que rien ne change, on grandit avec nos collègues de travail et on apprécie davantage à les connaître. On aime leurs qualités et on accepte leurs défauts comme des frères et sœurs. On se sent tout simplement bien dans cette belle entreprise hier comme aujourd’hui et c’est probablement grâce à la simplicité et le charisme de Monsieur Bouchard (le président fondateur) que cela a été possible.

La relève est déjà là depuis quelques années et nous ressentons une belle continuité, des belles valeurs qui nous définissent.